Bombardier annonce ses résultats financiers du premier trimestre clos le 31 mars 2012

Pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, le taux d'imposition effectif global a été de 11,6 %, comparativement au taux d'imposition prévu par la loi de 26,7 % au Canada. Le taux d'imposition effectif plus faible est principalement attribuable à l'incidence positive de la comptabilisation des avantages fiscaux liés aux pertes fiscales et aux différences temporelles, en partie contrebalancés par des avantages fiscaux non comptabilisés. 



Le résultat net s'est établi à 190 millions $, ou un RPA dilué de 0,10 $, pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, comparativement à 220 millions $, ou un RPA dilué de 0,12 $, pour le trimestre clos le 30 avril 2011. 

L'utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 712 millions $ pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, comparativement à une utilisation de 409 millions $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. 

Au 31 mars 2012, le carnet de commandes de Bombardier s'établissait à 55,2 milliards $, contre 53,9 milliards $ au 31 décembre 2011. 



Bombardier Aéronautique 

* Revenus de 1,5 milliard $ * RAII de 91 millions $, ou 6,1 % des revenus * RAIIA de 141 millions $, ou 9,4 % des revenus * Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 572 millions $ * 68 commandes nettes * Carnet de commandes de 23,3 milliards $ 

Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 1,5 milliard $ pour le trimestre clos le 31 mars 2012, comparativement à 2,2 milliards $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Cette diminution est essentiellement attribuable à la baisse du nombre de livraisons d'avions d'affaires principalement dans la catégorie des grands biréacteurs d'affaires en raison de la transition aux avions Global 5000 et Global 6000 dotés du nouveau poste de pilotage Vision, qui est entré en service fin mars 2012, à la diminution du nombre de livraisons d'avions commerciaux par suite du ralentissement des cadences de production, et en raison du moment de la disponibilité du financement d'un client. 



Pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, le RAII a atteint 91 millions $, ou 6,1 % des revenus, comparativement à 141 millions $, ou 6,4 %, pour la période correspondante de l'exercice précédent. À l'exclusion de l'incidence du gain lié à la résolution d'un litige relatif à la Loi de l'impôt sur le revenu (Canada) s'établissant à 23 millions $, la marge RAII a diminué de 1,9 point de pourcentage. Cette diminution est principalement attribuable à la moins bonne absorption des charges de vente et d'administration, des charges de R et D et de l'amortissement des immobilisations corporelles en raison du niveau anormalement faible des revenus, et de l'incidence négative de la hausse des taux de change, compte tenu des couvertures, pour le dollar canadien par rapport au dollar américain. Ceci a été en partie contrebalancé par la hausse des prix de vente nets des avions d'affaires et des avions commerciaux, la combinaison entre les livraisons d'avions d'affaires et d'avions commerciaux, la hausse des marges tirées des activités de service, et un écart positif net sur des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur et des provisions pour garanties de crédit et garanties de valeur résiduelle. 



Pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, l'utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 572 millions $, comparativement à une utilisation de 168 millions $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Cette diminution de 404 millions $ est essentiellement attribuable à l'écart négatif, par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, de la variation nette des soldes hors caisse liés aux activités opérationnelles, à l'accroissement des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles attribuable à nos investissements importants dans de nouveaux produits, et à la baisse du résultat avant charges de financement, revenus de financement, impôts sur le résultat et amortissement (RAIIA). 



Pour le trimestre clos le 31 mars 2012, le nombre de livraisons d'avions a été de 37, contre 61 pour la période correspondante terminée le 30 avril 2011. Les 37 livraisons étaient composées de 29 avions d'affaires, 7 avions commerciaux et 1 avion amphibie (37 avions d'affaires, 23 avions commerciaux et 1 avion amphibie pour la période correspondante de l'exercice précédent). 



Bombardier Aéronautique a reçu 68 commandes nettes au cours du trimestre clos le 31 mars 2012, comparativement à 86 au cours de la période correspondante de l'exercice précédent. Les 68 commandes nettes étaient composées de 40 commandes nettes d'avions d'affaires et 28 commandes d'avions commerciaux (77 commandes nettes d'avions d'affaires [incluant une commande de 50 avions Global de NetJets], 5 commandes d'avions commerciaux et 4 commandes d'avions amphibies pour la période terminée le 30 avril 2011). 



Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique atteignait 23,3 milliards $ au 31 mars 2012, comparativement à 22 milliards $ au 31 décembre 2011. L'augmentation de 5,9 % est due principalement à l'accroissement des commandes de grands avions d'affaires, de biturbopropulseurs et de biréacteurs commerciaux. 

Bombardier Transport 

* Revenus de 2 milliards $ * RAII de 124 millions $, ou 6,2 % des revenus * RAIIA de 156 millions $, ou 7,8 % des revenus * Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 100 millions $ * Nouvelles commandes totalisant 1,2 milliard $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,6) * Carnet de commandes de 31,9 milliards $ 

Les revenus de Bombardier Transport pour le trimestre clos le 31 mars 2012 ont totalisé 2 milliards $, comparativement à 2,5 milliards $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Les revenus pour le premier trimestre de 2012 ont été touchés par l'achèvement de certains contrats, surtout en Asie- Pacifique et, dans une moindre mesure, en Europe, tandis que des commandes importantes obtenues dans ces régions au cours des derniers trimestres en sont toujours à la phase de démarrage. 



Le RAII a atteint 124 millions $, ou 6,2 % des revenus, pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, en regard de 171 millions $, ou 6,9 %, pour la période correspondante de l'exercice précédent. La diminution de 0,7 point de pourcentage est surtout attribuable à la moins bonne absorption des charges de vente et d'administration et des charges de R et D et à la baisse de la marge brute totale de matériel roulant, attribuable à des difficultés d'exécution de certains contrats; en partie contrebalancées par l'augmentation de la marge brute des services, et des systèmes et signalisation, attribuable à une meilleure exécution globale des contrats et à la combinaison favorable des produits. 



Pour le premier trimestre clos le 31 mars 2012, l'utilisation des flux de trésorerie disponibles a totalisé 100 millions $, comparativement à une utilisation de 168 millions $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. L'amélioration de 68 millions $ est principalement attribuable à l'écart positif, par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, de la variation nette des soldes hors caisse liés aux activités opérationnelles, en partie contrebalancé par la baisse du RAIIA. 



Les nouvelles commandes reçues au cours du premier trimestre clos le 31 mars 2012 ont totalisé 1,2 milliard $ reflétant un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,6, comparativement à 1,2 milliard $ et un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,5 pour la période correspondante de l'exercice précédent. 



Le carnet de commandes de Bombardier Transport totalisait 31,9 milliards $ au 31 mars 2012, demeurant au même niveau qu'au 31 décembre 2011, tandis que les revenus plus élevés que les nouvelles commandes étaient contrebalancés par le raffermissement de la plupart des devises en regard du dollar américain au 31 mars 2012, comparativement au 31 décembre 2011, principalement l'euro et la livre sterling. 



DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES 

Actions classe A et classe B Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 30 juin 2012 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 15 juin 2012. 



Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 15 juin 2012 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action. 

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES 

Actions privilégiées, série 2 Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 mars et 15 avril 2012. 

Actions privilégiées, série 3 Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,32919 $ CAN par action est payable le 31 juillet 2012 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 13 juillet 2012. 

Actions privilégiées, série 4 Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 juillet 2012 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 13 juillet 2012. 



À propos de Bombardier Inc. Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l'avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d'un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés. 



Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l'une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l'exercice clos le 31 décembre 2011, nos revenus ont été de 18,3 milliards $ US. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter: @Bombardier. 



CRJ, CRJ1000, CS100, CSeries, Global, Global 5000, Global 6000, Learjet 85, L'évolution de la mobilité, NextGen, Q400, TWINDEXX et Vision Flight Deck sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales. 

POUR INFORMATION Isabelle Rondeau Shirley Chénier Directrice, Directrice principale, Communication Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. Bombardier Inc. TÉL. +514-861-9481 514+861-9481 





www.bombardier.com 

Le rapport de gestion et les états financiers consolidés sont disponibles à l'adresse Internet www.bombardier.com. 

ÉNONCÉS PROSPECTIFS 

Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s'y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos projets, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l'économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d'une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance prévues; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l'exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l'incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l'emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « avoir l'intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer » ou « maintenir », la forme négative de ces termes, leurs variations, ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d'importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l'information à notre disposition, il existe un risque qu'elles ne soient pas exactes. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs respective des sections Sommaire, Bombardier Aéronautique et Bombardier Transport du rapport de gestion du rapport annuel de la Société pour l'exercice clos le 31 décembre 2011. 

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l'industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires), à l'exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l'environnement, à notre dépendance à l'égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, aux engagements à modalités fixes, et à la production et à l'exécution de projets), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l'accès aux marchés financiers, au crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d'emprunt, au financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l'égard de l'aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d'intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l'augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes de la section Autres. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n'est pas exhaustive et qu'il ne faudrait pas s'y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n'y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d'événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde. 

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES DE CALCUL DES RÉSULTATS NON DÉFINIES PAR LES PCGR 

Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes IFRS (principes comptables généralement reconnus (PCGR)), ainsi que sur le RAIIA et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent directement des états financiers consolidés, mais n'ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d'autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit qu'un grand nombre d'utilisateurs du rapport de gestion analysent les résultats de la Société d'après ces mesures du rendement. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR dans le rapport de gestion pour les définitions et les rapprochements  avec les mesures les plus comparables des IFRS. 





Copyright Thomson Reuters 













[HUG#1610948]