Paris, le 30 mars 2006
Résultats annuels 2005
Résultat opérationnel courant en hausse de 13,8 %
. Forte croissance du nombre de passagers : + 4,4 % à 78,7 millions
. Chiffre d'affaires en progression de 5,7 % à 1 914,6 millions d'euros
. EBITDA en hausse de 9,1 % à 592,4 millions d'euros
. Progression du résultat net de 24,9 % à 179,9 millions d'euros*
Le Conseil d'administration de la société Aéroports de Paris, réuni le 30 mars 2006 sous la présidence de Pierre Graff, a arrêté les comptes de l'exercice 2005. Commentant ces résultats, Pierre Graff, Président Directeur Général, a déclaré :
" Les résultats de l'exercice traduisent le dynamisme d'Aéroports de Paris et sont le reflet du travail engagé depuis 2004. Grâce à la qualité de ses atouts et à la pertinence de ses choix stratégiques, Aéroports de Paris confirme sa position d'opérateur aéroportuaire européen de tout premier rang. Le contrat de régulation que nous avons signé avec l'Etat, en février, nous donne les moyens de développer notre projet industriel sur la période 2006-2010: une offre de services de qualité et de plus en plus compétitive soutenue par un programme d'investissements ambitieux et une amélioration constante de notre rentabilité. "
Chiffres clés
ME | 2005 IFRS | 2004 IFRS | Var 2005 / 2004 |
| | | |
Produits des activités ordinaires | 1914,6 | 1811,7 | + 5,7% |
EBITDA | 592,4 | 542,8 | + 9,1% |
Résultat opérationnel courant | 331,2 | 290,9 | + 290,9 |
Résultat opérationnel | 354,7 | 274,8 | + 29,1% |
Résultat financier | -82,5 | -69,3 | - |
Résultat net part du groupe | 179,9 | 144,1 | + 24,9% |
Flux de trésorerie | | | |
provenant des activités opérationnelles | 647,3 | 389,2 | + 66,3% |
Dettes financières nettes / | | | |
Capitaux propres | 1,13 | 1,26 | - |
* Hausse de 2,3 % à 158,1 millions d'euros hors effet de l'accident du terminal 2 E
Aéroports de Paris enregistre une forte croissance de son trafic
En 2005, Aéroports de Paris a accueilli un nombre record de passagers: 78,7 millions de voyageurs en hausse de 4,4 %. 53,8 millions de passagers ont utilisé l'aéroport de Paris-Charles de Gaulle et 24,9 millions de passagers celui de Paris-Orly.
Le nombre de mouvements d'avions est quasiment stable à 736 600 par rapport à l'année 2004 (+0,2 %) avec une évolution de -0,5 % à Paris-Charles de Gaulle et +1,9 % à Paris-Orly. Ces chiffres traduisent l'augmentation régulière de la capacité d'emport (107 passagers/vol en 2005 contre 104 en 2004) et du taux de remplissage des avions (73 % en 2005 contre 70 % en 2004).
Le trafic international a fortement contribué au dynamisme des deux plates-formes. La croissance des faisceaux internationaux est portée, en particulier, par les faisceaux Amérique du Nord (+8,9 %), Amérique du Sud (+11,1 %) Afrique (+9,6 %) et Moyen Orient (+11,1 %). Globalement, le trafic vers l'Europe progresse de 4,2 %. Vers les dix nouveaux entrants dans l'Union Européenne il augmente de 10,8 % et de 4,3 % dans l'espace Schengen. Le trafic sur la métropole reste stable (+0,3 % en passagers et -0,8 % en mouvements).
L'activité cargo a augmenté de 6,4 % par rapport l'année 2004 avec 2,1 M tonnes de fret transporté (y compris courrier). Grâce à cette forte progression, Aéroports de Paris confirme sa position de premier système aéroportuaire européen en terme de fret.
Les Produits des activités ordinaires sont en hausse de 5,7 %
Aéroports de Paris publie pour la première fois des comptes en normes IFRS.
Le produit des activités ordinaires progresse plus vite que le trafic sur la période. En effet, il enregistre une hausse de 5,7 %, par rapport à l'exercice précédent, pour s'établir à 1 914,6 millions d'euros.
Produit des activités ordinaires (M€) | 2005 |
Services aéroportuaires | 1600,6 |
Assistance en escale et prestations annexes | 167,8 |
Immobilier | 162,1 |
Autres activités | 199,8 |
Eliminations inter segments | -215,8 |
NB : les chiffres ci-après sont donnés avant élimination des intersegments
Services aéroportuaires
. Les produits du segment Services aéroportuaires (75,1 % du produit des activités ordinaires avant éliminations inter segments) sont en hausse de 6,8 %, à 1 600,6 millions d'euros et se repartissent à hauteur de 1151,9 millions d'euros pour Paris-Charles de Gaulle (72,0 % du segment), 420,9 millions d'euros pour Paris-Orly (26,3 % du segment), et 27,9 millions d'euros (1,7 % du segment) pour les autres plates-formes.
Tirées par la progression du trafic et la hausse des tarifs (+4,0 % au 1er février 2005), les redevances aéronautiques (catégorie qui regroupe les 4 redevances principales (atterrissage, passager, stationnement avion et carburant) ainsi que la redevance pour le balisage lumineux) sont en hausse de 7,1 % à 621,5 millions d'euros.
Les redevances spécialisées (catégorie qui regroupe les redevances accessoires (tri bagages, banques d'enregistrement, dégivrage) et autres prestations (accueils officiels, locations de réseaux)) progressent de 19,1 % à 95,4 millions d'euros compte tenu de l'importante activité de dégivrage avions et des hausses de produits de tris bagages.
Le produit de la taxe d'aéroport, qui permet de financer les activités relatives à la sûreté, progresse de 3,5 %, à 308,7 millions d'euros. La croissance du trafic compense la baisse du taux de la taxe qui a été ramené de 8,20 euros à 7,95 euros par passager au départ au 1er janvier 2005.
Les recettes locatives, qui correspondent à la location de locaux d'usage en aérogares, sont en hausse de 8,7 % à 61,6 millions d'euros, en raison de l'ouverture de nouvelles surfaces notamment au terminal 2 E.
Les prestations industrielles (fourniture d'énergie, de fluides …) augmentent de 5,6 % à 60,6 millions d'euros. Cette évolution est liée à la progression des ventes d'énergie thermique dont les tarifs ont augmenté de près de 7 %, en conséquence de la hausse des prix du gaz.
Les produits commerciaux du segment (qui comprennent les loyers et redevances reçus au titre des activités payantes s'adressant au grand public (boutiques, bars et restaurants, loueurs de voitures…)) progressent de 1,9 % à 196,9 millions d'euros. A Paris-Charles de Gaulle, bien que la reprise de l'activité reste toujours freinée par la saturation des terminaux, la salle provisoire d'embarquement du terminal 2 E enregistre de bonnes performances alors qu'à CDG1, une meilleure signalisation de la zone de transfert a permis d'atténuer les effets des travaux de réhabilitation. A Paris-Orly, les produits sont tirés par la croissance du trafic international et la mise en place de boutiques roulantes qui ont fait progresser le chiffre d'affaires par passager.
Les recettes des parcs de stationnement automobiles sont pour leur part en hausse de 12,8 % à 134,8 millions d'euros. Cette progression s'explique notamment par la mise en place d'une politique commerciale qui favorise la fréquentation des parkings, notamment, à Paris-Orly, grâce au forfait " week end " ou aux offres " stationnement de longue durée ".
Les autres recettes sont en hausse de 7,2 % à 121,0 millions d'euros. Cette évolution reflète pour l'essentiel la hausse de 8 % du reversement associé au Budget Annexe de l'Aviation Civile.
Assistance aéroportuaire
Les produits du segment Assistance en escale et prestations annexes sont stables (- 0,4 %) à 167,8 millions d'euros. Cette évolution reflète l'effet conjugué de la hausse des passagers enregistrés et de la forte baisse des avions traités. Bien que l'année 2005 ait été marquée par la perte ou la baisse d'activité de certains de ses clients, Aéroports de Paris a gagné de nouveaux contrats à Paris-Charles de Gaulle (SN Brussel, Ukraine international, Blue Line) et à Paris-Orly (Tunis Air).
Immobilier (hors aérogares)
Les produits du segment Immobilier s'élèvent à 162,1 millions d'euros, soit une hausse de 2,4 %. Cette progression concerne essentiellement les redevances de locations des terrains nus et résulte de l'effet conjugué de la hausse des loyers et de la location de nouvelles surfaces.
Parmi les opérations significatives réalisées ou lancées en 2005 pour lesquelles Aéroports de Paris met à disposition d'investisseurs ou d'utilisateurs des terrains aménagés et viabilisés, il y a lieu de citer :
- le centre de maintenance du Hub d'Air France (13 200 m² sur 3,3 ha) à Paris-Charles de Gaulle ;
- la nouvelle unité de catering Servair (4 200 m²) à Paris – Charles de Gaulle ;
- la nouvelle unité d'armement avion ACNA (6 500 m²) à Paris-Charles de Gaulle ;
- la Cité des Personnels Navigants d'Air France dans le quartier de Roissy Pôle (33 000 m² sur 7 niveaux) inaugurée en mars 2006.
Autres activités
Les produits du segment Autres activités sont en hausse de 17,1 %, à 199,8 millions d'euros. Cette progression reflète pour l'essentiel les performances des quatre filiales du segment (Hub Telecom, Société de Distribution Aéroportuaire, ADP ingénierie et ADP management).
La contribution la plus importante (80,3 millions d'euros) provient de la Société de Distribution Aéroportuaire (joint venture à 49 % Aéroports de Paris / 51 % Aélia - Hachette Distribution Services, spécialisée dans la distribution d'alcool, tabac, parfum et gastronomie) en hausse de 8,5 %. La Société de Distribution Aéroportuaire a mené une politique commerciale dynamique (rénovation de boutiques existantes et ouverture de nouveaux points de vente) qui a permis de compenser les effets de saturation notamment dans les terminaux de CDG2. En outre, son périmètre initial (CDG2) a été étendu aux concessions alcool, tabac, parfum et certaines boutiques gastronomie de CDG1 en fin d'année 2005.
Aéroports de Paris poursuit les efforts engagés pour améliorer sa rentabilité
Les charges courantes d'Aéroports de Paris progressent de 4,4 % à 1 403,3 millions d'euros.
Les achats progressent de 5,6 % à 106,2 millions d'euros, en raison notamment des hausses tarifaires des combustibles. Les services extérieurs sont stables (+0,5 %) à 522,8 millions d'euros.
Les charges de personnel progressent de 11,3 % à 611,5 millions d'euros en raison de l'évolution des effectifs du Groupe et l'entrée en vigueur d'un dispositif de participation des salariés aux résultats de l'entreprise (pour 12,2 millions d'euros). Les effectifs moyens sont en effet en hausse de 6,7 %. Cette hausse s'explique pour l'essentiel par un effet de périmètre avec l'entrée des deux nouvelles sociétés d'assistance du groupe Alyzia dans le périmètre de consolidation à compter de 2005. A périmètre comparable, les effectifs moyens du groupe (9931 salariés) augmentent de 2,9 %. Les effectifs de la maison-mère sont stables (-0,4 %).
L'EBITDA (Résultat opérationnel courant + dotations aux amortissements + dépréciations d'immobilisations nettes de reprises) est en progression de +9,1 % à 592,4 millions d'euros contre 542,8 millions d'euros en 2004. Le taux de marge d'EBITDA, aux normes IFRS, progresse et atteint 30,9 % contre 30 % en 2004.
Le Résultat Opérationnel Courant s'élève à 331,2 millions d'euros soit une hausse de +13,8 %. Cette évolution reflète pour l'essentiel la hausse de l'EBITDA.
Le Résultat Opérationnel s'établit en hausse de +29,1 % à 354,7 millions d'euros (contre 274,8 millions d'euros en 2004).
Le Résultat Net part du groupe progresse de +24,9 % à 179,9 millions d'euros. Hors impacts des éléments non courants liés à l'accident du terminal CDG2E (produits d'assurance), le résultat net se serait établit à 158,1 millions d'euros en hausse de 2,3 % (contre 154,5 M euros en 2004 retraités).
Amélioration de la structure financière et poursuite du programme d'investissements sur le cœur de métier
Le flux de trésorerie opérationnel s'établit en hausse de 66,3 % à 647,3 millions d'euros (contre 389,2 millions d'euros en 2004).
Afin de compléter le financement du programme d'investissements, Aéroports de Paris a souscrit deux nouveaux emprunts en 2005 pour un montant total de 330 millions d'euros.
Le ratio Dettes financières nettes / Capitaux propres s'améliore de 10,4 % et s'établit à 1,13 contre 1,26 en 2004.
L'endettement net est en léger retrait à 2 297,7 millions d'euros (contre 2 333,8 millions d'euros en 2004).
Les investissements du groupe sont en hausse de 4,9 % à 578,9 millions d'euros. Cette évolution reflète la poursuite des projets de développement de capacité (Satellite 3, le métro automatique CDG Val…) et de réhabilitation (CDG1, hall 2 d'Orly Ouest) engagés par Aéroports de Paris. En particulier, le premier quart rénové de CDG 1 a été remis en service au mois de décembre 2005.
Contrat de régulation économique
Aéroports de Paris a signé avec l'Etat, le 6 février 2006, un contrat de régulation économique qui lui permet d'augmenter les tarifs des redevances aéroportuaires au maximum de 3,25 % + inflation par an pendant 5 ans (le taux retenu pour l'année 2006 est de 5 %). Cette hausse des tarifs est associée à un plan d'investissements, sur le périmètre régulé, portant sur 2,5 milliards d'euros sur la période 2006-2010 et à des objectifs de qualité pour les services à destination des compagnies aériennes et des passagers. Ce contrat donne à Aéroports de Paris la visibilité nécessaire pour développer son activité sur les 5 ans à venir.
www.aeroportsdeparis.fr
Contact presse : Jérôme Dutrieux 01 43 35 70 70 - [email protected]
Contact Analystes / Investisseurs : Benoit Trochu - +33 (0)1 43 35 73 43 – [email protected]
La société anonyme Aéroports de Paris gère 14 plates-formes parmi lesquelles Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget. Bénéficiant d'une position géographique exceptionnelle et d'un potentiel unique de développement en Europe, le groupe conduit une stratégie de croissance visant à valoriser ses atouts et accroître son efficacité et sa rentabilité dans la durée.
En 2005, le groupe Aéroports de Paris a réalisé un chiffre d'affaires de 1914,6 ME et a accueilli 78,7 millions de passagers dans ses aéroports.
ANNEXE 1
Bilan simplifié
ME | 31.12.2005 | 31.12.2004 |
| | |
Actif non courant | 4947,9 | 4734,1 |
Trésorerie | 388,3 | 173,4 |
Autres actifs courants | 732,6 | 611,1 |
Total Actif | 6068,8 | 5518,5 |
| | |
Capitaux propres | 2030,7 | 1848,8 |
Dettes financières à long terme | 2571,4 | 2304,5 |
Autres passifs non courants | 466,4 | 455,5 |
Dettes financières à court terme | 207,5 | 202,8 |
Autres passifs courants | 792,8 | 706,9 |
Total Passif | 6068,8 | 5518,5 |
Tableau de flux simplifié
ME | 2005 | 2004 |
| | |
Capacité d’autofinancement | | |
opérationnelle après impôts | 657,6 | 543,5 |
Variation du besoin en fonds | | |
de roulement | 18,5 | -9 |
Flux de trésorerie provenant | | |
des activités opérationnelles | 647,3 | 389,3 |
Flux de trésorerie utilisés | | |
pour les activités d’investissements | -526,4 | -474,1 |
Flux de trésorerie provenant | | |
des activités de financement | 96 | 9,6 |
Incidence norme IAS 32-39 | 0,4 | - |
Variation de trésorerie | 217,3 | -75,3 |
Trésorerie fin de période | 381,3 | 163,9 |
ANNEXE 2
Première application des normes IFRS
L'impact majeur du passage aux normes IFRS est lié à l'application de l'IAS 16 (Immobilisations corporelles) qui s'est traduite pour l'essentiel par la création de nouveaux composants pour l'infrastructure (couches de surface pour les pistes et routes) et les réseaux (réseaux électriques et thermiques) ainsi que l'allongement de la durée d'utilité des immobilisations corporelles (gros œuvre des aérogares et aires de stationnement).
L'incidence de l'allongement des durées d'utilité s'élève à +423,2 millions d'euros sur les capitaux propres d'ouverture 2004 et à +11,9 millions d'euros sur le résultat 2004 (hors effet d'impôt). L'impact sur les capitaux propres d'ouverture se décompose comme suit :
- Diminution des amortissements cumulés à l'actif : +426,8 millions d'euros
- Augmentation des subventions au passif: -3,4 millions d'euros
- Autre augmentation au passif : -0,2 millions d'euros
Au total, l'impact des normes IFRS sur les capitaux propres au 31.12.04 s'élève à + 303,9 millions d'euros.
Le passage aux normes IFRS induit donc une amélioration du ratio Dettes financières nettes / Capitaux propres qui passe au 31.12.04 de 1,51 en normes françaises à 1,26 en IFRS.
Impact sur les capitaux propres:
(en milliers d'euros) | 01/01/04 | 31/12/04 | 01/01/05 |
Normes françaises | 1 477 205 | 1 544 899 | 1 833 664 |
Impact des normes: | | | |
-IAS 16 – Immobilisations corporelles (a) | 423 227 | 435 091 | - |
-IAS 17 – Location-financement (b) | 45 208 | 45 714 | 45 714 |
-IAS 19 – Avantages du personnel (c) | (1 404) | (1 078) | (1 078) |
-IAS 28 - Participation dans des entreprises associés (d) | 1 014 | 1 804 | 1 804 |
-IAS 38 – Immobilisations incorporelles (e) | 6 500 | 9 571 | - |
-IAS 32 et 39 – Instruments financiers (h) | - | - | 6 362 |
-IFRS 1 – Première adoption des IFRS (f) | (26 840) | (24 189) | (24 189) |
-IFRS 3 – Regroupements d'entreprises (g) | - | 60 | 60 |
Impact de l'impôt différé correspondant | (162 146) | (163 092) | (7 736) |
Normes IFRS | 1 762 764 | 1 848 780 | 1 854 601 |
Impact sur le résultat de la période:
(en milliers d’euros) | Exercice |
| 2004 |
Normes françaises | 131 940 |
Impact des normes: | |
-IAS 16 – Immobilisations corporelles (a) | 11 863 |
-IAS 17 – Location-financement (b) | 507 |
-IAS 19 – Avantages du personnel (c) | 326 |
-IAS 28 – Participation dans des entreprises associés (d) | 935 |
-IAS 38 – Immobilisations incorporelles (e) | 3 070 |
-IFRS 1 - Première adoption des IFRS (f) | 2 371 |
-IFRS 3 – Regroupements d'entreprises (g) | 60 |
Impact de l'impôt différé correspondant | (946) |
Normes IFRS | 150 126 |